A quelques mètres de la ligne de départ de cette dernière étape pyrénéenne, ils étaient une cinquantaine de salariés, qui entouraient Jean Michel Bernoville, Secrétaire du syndicat CGT de l’hôpital qui résumait ainsi la situation :
par exemple, si un coureur du Tour blessé arrivait aux urgences en ambulance, il aurait les soins initiaux sur un 1er site, puis, remis dans une 2e ambulance pour une éventuelle intervention chirurgicale sur un autre site avant d’être placé dans une 3e ambulance pour revenir le cas échéant vers la réanimation avant d’âtre, au cas où, placé dans une 4e ambulance pour un transfert vers le service de chirurgie …
Tout cela parce que l’Agence régionale de Santé refuse de débloquer les fonds nécessaires pour unifier tous ses services sur un seul site. Une aberration qui coûte cher… Un gâchis humain, social et économique. A moins que…quand on veut tuer son chien… Des centaines de tracts ont été distribués. Un accueil à la hauteur des dangers.